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EPT

Pourquoi faut-il mesurer les flux des particules dans l’espace ?

Les particules énergétiques que détecte/dénombre l’EPT constituent une menace pour les équipages des navettes spatiales mais aussi pour les équipements embarqués et les matériaux à bord. Concrètement, ces radiations peuvent endommager les cellules biologiques des astronautes, abîmer les ordinateurs de bord ou modifier les caractéristiques des matériaux  constituant la plateforme ou la charge utile.

EPT

Il est donc essentiel de connaître le flux de ces particules à différentes position dans l’espace, d’en connaître l’évolution à moyens termes, mais aussi de comprendre les mécanismes physiques qui entrainent des variations rapides de ces particules à certaines positions lors des orages géomagnétiques.

Les données acquises par l’EPT serviront à l’étude expérimentale et théorique de ces mécanismes afin de pouvoir prédire les variations de flux dans le cadre de ce qui est convenu d’appeler la  "météorologie spatiale".

 

 

Partenaires, collaboration, consortium

La conception de cet appareil résulte d'échanges fructueux entre scientifiques de l'IASB (Institut d'Aéronomie Spatiale de Belgique) et de l'UCL (Université Catholique de Louvain). L’équipe de Physique Spatiale de l’IASB développe des modèles de vent solaire et des ceintures de radiations sur base d'observations faites par des détecteurs à bord de satellites. L’équipe du Centre des Radiations Spatiales de l’UCL conçoit et utilise de tels détecteurs pour diverses disciplines de recherche. Ces équipes ont décidé de mettre en commun leurs expériences et leurs ressources pour concevoir, construire et mettre en œuvre l’EPT.

ASRO

Un consortium a été formé entre l’UCL, l’IASB and QinetiQ Space pour créer l’instrument avec l’appui de l’ESA (European Space Agency) et de Belspo (Politique Scientifique Fédérale). L’équipe du CSR (Center for Space Radiations)  a coordonné le projet pour la conception de l’instrument.

 

L’équipe d’ingénieurs de l’IASB a pris soin des aspects mécaniques de l’instrument, tandis que l’équipe de physique spatiale s’occupait des aspects scientifiques. La transmission des données est assurée par le B.USOC et le centre de contrôle de Redu. La firme privée QinetiQ Space s’est occupée d’une partie de l’électronique de l’instrument, de la coordination de la fabrication du modèle de vol de l’EPT et de son intégration sur le satellite PROBA-V.

 

Partners:

 

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